vendredi 25 mars 2011

"La victoire est à portée de main"

Il n’y avait plus un siège de libre ce soir à la salle René Roussière à Camaret, pour la dernière rencontre publique avant le second tour. Marlène THIBAUD a une nouvelle fois montré sa détermination et sa confiance sur l’issue du scrutin. Confiance partagée par M. Claude HAUT, Président du Conseil général, qui a opposé la « dynamique ascendante » de notre candidate à la « dynamique descendante » de Mme Bompard, une conseillère qui, selon ses propres mots, « n’a servi à rien » et qui est « hors jeu » à la lecture de ses thèmes de campagne dont aucun ne concerne le Conseil général. Pierre MEFFRE, maire de Vaison-la-Romaine et Conseiller régional,  a estimé lui aussi que « la victoire est à portée de main » et que c’était « une occasion de sortir une personne peu fréquentable ». Julien MERLE, candidat Modem éliminé au 1er tour rallié à notre candidate de front républicain, a abondé dans ce sens ainsi que Fabienne HALOUI, pour le PCF et le Front de Gauche.
« La victoire est à portée de main ! »
Dimanche 27 mars, pas d’abstention !
Aucune voix ne doit manquer à Marlène THIBAUD !

dimanche 20 mars 2011

1er tour : réaction de Marlène THIBAUD

« je prends acte des résultats du premier tour, et je tiens à remercier les électrices et les électeurs qui m’ont accordé leur confiance. Je suis particulièrement satisfaite des bons résultats obtenus à Camaret, qui témoignent de la reconnaissance de celles et ceux qui me côtoient au quotidien, ainsi que ceux des villages de l’intercommunalité, qui m’ont adressé ce soir un véritable signe de confiance. Je veux vous dire que je suis optimiste pour le second tour. Face à une candidate absente, inefficace, menteuse, sectaire et sans aucun programme, je représente désormais la seule alternative réellement efficace, en termes de présence, d’honnêteté, de volonté de travailler dans l’intérêt général et dans un esprit de rassemblement. »
Deux candidates restent en lice. Dimanche 27 mars, face à la conseillère sortante, pas une voix ne doit manquer à Marlène THIBAUD !

jeudi 17 mars 2011

Meeting très offensif à Orange

Près de 150 personnes ont rempli ce soir le théâtre municipal d’Orange, pour la dernière rencontre publique avant le 1er tour des « socialo-écolo-communistes », comme l’a rapporté dans l’hilarité générale M. Claude HAUT, président du Conseil général.
De nombreux élus se sont déplacés pour soutenir notre candidate : Francis ADOLPHE, maire de Carpentras, Pierre MEFFRE, maire de Vaison-la-Romaine, Joël SERAFINI, maire de Bédarrides, Max IVAN, président de la CCAOP, les élus de l’opposition municipale orangeoise et Jean-Pierre LAMBERTIN, vice-président du Conseil général, Gérard SANTUCCI, conseiller général.

Mobilisation et déviations

Forte mobilisation ce matin encore à Orange. Une quinzaine de militants se sont donnés rendez-vous dès 7h à la gare, où notre programme a été bien accueilli par les voyageurs. 
A 9h30, Marlène THIBAUD était interrogée par deux journalistes, de La Provence et de Vaucluse Matin, sur son idée d'associer le projet départemental de déviation de Jonquières et de Violès avec celui du contournement d'Orange, qui relève de l'Etat. Tout le monde s'est ensuite retrouvé sur le marché pour une ultime rencontre avec les électeurs, avant la rencontre publique de ce soir au théâtre municipal d'Orange.

lundi 14 mars 2011

Face-à-face convivial à Sérignan

Devant une salle venue nombreuse malgré la pluie et l’heure tardive et aux côtés de nos candidats et de Jean-Pierre LAMBERTIN, vice-Président du Conseil général, Michel BAYET, conseiller général, a fait l’éloge de Marlène THIBAUD : « derrière l’élue, il y a la personnalité ». Président de la commission développement durable et aménagement du territoire, dont fait partie la conseillère sortante, celui-ci a confirmé qu’il « ne l’a jamais vue ». Jean-Pierre LAMBERTIN déplore également : « nous avons travaillé sur notre projet. Nous voudrions pouvoir le comparer, mais nous ne trouvons que des slogans ». « Cette élection est très importante » a-t-il ajouté, « il faut se mobiliser dès le 1er tour ». Marlène THIBAUD a ensuite défendu sa conception du service public, faite d’écoute et de respect de l’autre, au service de tous : « l’acquisition des locaux de Monopanel permettra de créer 30 à 40 emplois ». Suite à une question de la salle sur le gaz de schiste, Michel BAYET a rappelé l’opposition du Conseil général en raisons des conséquences sur l’environnement, en précisant qu’elles avaient été détaillées dans un texte adopté à l’unanimité en séance plénière. S’agissant de la déviation d’Orange, Jean-Pierre LAMBERTIN a confirmé que des crédits avaient été inscrits mais « c’est l’Etat qui décide ». Les questions ont été nombreuses et prolongé la soirée jusque tard dans la nuit.

vendredi 11 mars 2011

Salle comble à Violès

Salle comble à nouveau à la salle des fêtes de Violès, pour écouter nos candidats soutenus ce soir par MM. Claude HAUT, Président du Conseil général, et Pierre MEFFRE, maire de Vaison-la-Romaine et Conseiller régional.
Marlène THIBAUD a raillé les mensonges de la conseillère sortante. « Quand je l’ai entendue dire sur France 3 qu’elle avait assuré une permanence dans toutes les communes… comment peut-on mentir avec autant d’aplomb !? Je ne pourrais même pas me regarder dans une glace ! ». Propos confirmés dans la salle, notamment par M. Henri COPIER, 2ème adjoint de la mairie de Violès : « je ne l’ai jamais vue ! ». Notre candidate a réaffirmé l’importance à ses yeux de « l’honnêteté morale d’engagement » : « à Camaret, notre programme est mon livre de chevet ». Elle a également confirmé la priorité qu’elle accorderait à l’emploi, bien que cette compétence ne soit pas départementale. Propos repris par Jean-François MENGUY : « le bassin d’emploi d’Orange est le plus mal placé du département ».
Claude HAUT est ensuite longuement revenu sur les calomnies de l’opposition à propos de « l’armée mexicaine », ces emplois prétendument créés en masse par le département, alors qu’il s’agit de personnel transférés par l’Etat. « Les comptes sont publics, chacun peut les vérifier » a-t-il précisé en ajoutant que les chiffres départementaux étaient dans la moyenne nationale, et que « si l’opposition arrivait aux responsabilités, elle n’aurait aucune marge de manœuvre ; on cherche à faire peur, c’est un écran de fumée ! »
Pierre MEFFRE a enfin tenu à apporter son témoignage : « je connais Marlène depuis des années, j’ai apprécié son honnêteté, sa ténacité et sa grande rigueur. Son premier bilan est l’action de son équipe municipale à Camaret, avec une priorité donnée à l’environnement. Ça fait plaisir de voir une candidate qui porte de vraies valeurs. Nous n’avons pas attendu le conseiller territorial pour travailler ensemble ».
Après un débat convivial, le mot de conclusion a été pour Claude HAUT qui a rappelé l’importance d’une mobilisation au 1er tour.

mercredi 9 mars 2011

Rencontre publique à Travaillan

Style à nouveau décontracté ce soir à Travaillan où nos candidats se sont installés face aux auditeurs pour un débat libre. Jean-Pierre LAMBERTIN, vice-président du Conseil général, a du, une fois de plus, rétablir la vérité sur la gestion départementale : les « embauches » qui sont en fait des transferts de l’Etat, privés de l’encadrement nécessaire qu’il a fallu recruter et, malgré l’insuffisance de la compensation financière, le maintien des investissements tout en ayant réduit de moitié la dette trouvée en 2001.
Des rappels importants face aux désinformations qui, hélas, émaillent cette campagne. Marlène THIBAUD enfonce le clou : « le débat sur l’intercommunalité s’est invité dans la campagne. Le débat, oui, mais pas par voie de presse ! Ca ne se fait pas comme ça, il faut en discuter, mesurer les répercussions sur les investissements en termes financiers, les retards engendrés sur les projets en cours par un redécoupage territorial… ». Et Jean-Pierre LAMBERTIN de conclure : « le préfet l’a dit : on n’est pas là pour faire des intercommunalités familiales ».
Le débat a été filmé par une équipe de production audiovisuelle, dans le cadre d’un documentaire, qui s’est étonnée de notre sérénité après avoir été prise à partie lors d’une réunion publique de la conseillère sortante.